8 septembre 2008

Mélie-Mélo (1)

Je me suis vraiment gavé de l'Amoureux en fin de semaine, parce que je le revois uniquement mardi, et puis après samedi.

On sait tous les deux qu'on ne pourra pas continuer comme ça éternellement, que nous allons être aspirés par les travaux à remettre, les devoirs, les lectures, les textes à apprendre, et que nous vivons sur du temps emprunté avant de devoir réduire les périodes passées ensemble, mais je m'en fous. Je m'en fous, tant qu'on est ensemble, plus rien ne m'importe.

J'ai un nouvel emploi que j'adore, avec un immense conflit d'horaire qui vient avec, mais bon. Je butine un peu partout ailleurs pour trouver THE emploi, qui me permettrait de concilier théâtre,travaux,emploi et amoureux, en étant bien rémunéré. Alors je prie beaucoup et en attendant, je slice de la viande froide (1 lbs de baloney ciré, s'te plaît, avec 1 demie lbs de poulet pressé !)

J'économise et je rêve de ce chez-nous qui nous attend l'an prochain, et je suis rassurée : quoi qu'il arrive, je déménage, que ce soit avec mon chéri ou avec Alice !

Il suffit de trouver un rythme de vie et de l'adopter. Ça semble si simple, dis comme ça...Oui,si simple.

N'empêche, en écoutant Occupation Double : Les retrouvailles, hier, je me disais que c'était effectivement plus simple d'avoir trouvé l'amour au pied d'un moulin que devant 2 milions de téléspectateurs avides d'images croustillantes.

0 commentaires: