21 février 2008

Comme en temps de guerre

J'sais plus quoi faire de ma peau, de mes envies, de mes rêves qui m'encombrent.
Et j'écoute Monsieur Mono, et je me sens lasse, triste...et pleine d'espoir en la vie qui renaîtra bientôt.
Je suis fatiguée, tellement fatiguée.
J'ai des cernes universelles qui ne veulent pas quitter mes joues.
Et j'écoute Monsieur Mono en me disant que peu importe les certificats, les diplomes ou les baccalauréats, je ne serai en paix avec moi-même que le jour où j'écrirai des chansons comme les siennes.

comme en temps de guerre
plus rien n'est certain
même dans notre repaire
c'est peut-être la fin
si près de l'enfer
et main dans la main

comme la vague de ton dos
qui chassait mes peines
ton amour coule dans mes veines
mais je ne suis pas celle qu'il te faut

au coeur du vacarme
il y a ton silence
si tu rends les armes
je serai sans défense

comme la vague de ton dos
qui chassait mes peines
ton amour coule dans mes veines
Mais je ne suis pas ce qu'il te faut ...

1 commentaires:

Miss Étoile a dit…

Okay, pour ton affaire de Nicolas Racine, je ne pense pas qu'il ait des enfants mais surement quelque chose qui ressemble à une conjointe (pas sur d'aimé sa que ton amie fantasme dessue :S... mais bon, bizarre et un peu épeurant).