25 février 2008

Points interrogatoires.

Je ne me remets pas en question, ces temps-ci.

Je me questionne, tout simplement. Et je baigne dans la relativité.

Je n'aime pas mon cours de Littérature, ni celui attitré à mon programme, je voudrais tuer les enseignantes d'Éléments, je néglige mes autres cours, je suis un peu dans la merde (et au lieu de travailler, je vais blogger, cherchez l'erreur.)

Je lorgne du côté du Cégep du Vieux-Montréal, avec son fantastique programme de création-littéraire. Woah. Création-littéraire. Le rêve. THE rêve.

Puis je regarde le profil Création du Bac en Études littéraires de l'UQAM, je bave devant les cours proposés à la maîtrise en création (seulement 12 personnes acceptées) et je me demande si je serai capable de tout faire ça. Si je ne serai pas mieux de faire une technique en éducation à l'enfance , au Cégep, et de ne plus jamais effleurer les bancs d'école, ne serait-ce que pour pratiquer mon métier.

On m'a dit un jour qu'à Valleyfield, dans mon champ d'étude, on fait les deux premières sessions pour apprécier pleinement le reste. Je l'espère. Parce que présentement, je suis vraiment découragée.

Bon, je vous laisse, j'ai un livre de 700 pages à terminer, et un exposé oral à faire sur lui...dans 2 heures.

1 commentaires:

Stephane a dit…

Si je peux me permettre, je te suggèrerais de ne pas envisager la création littéraire.

Le défaut d'étudier en 'création' c'est que ça te ferme les yeux face à l,essentiel de l'écriture - Avoir quelques chose à dire.

Oui, pour la forme et le style c'est bien, mais des écrivains qui écrivent sur l'action d'écrire, il en pleut et personne n'en veut.

:)

Faut faire ce que l'on aime, l'écriture viendera.