29 juin 2008

Je ne sais plus quoi écrire, même si j'ai eu une idée, hier et surtout cette nuit.
Une vraie idée, pas juste des mots plaqués ici, pas juste des bribes de mon bonheur brillant.

Je suis tellement bien avec lui, il me semble que j'ai enfin droit à ma part du gâteau, moi aussi.
Il me semble que j'ai attendu toute ma vie pour être là, exactement là, dans ses bras. Mon bébé, mon ange.

J'ai hâte de rencontrer sa famille, c'est comme un besoin anthropologique, comme dirait l'autre (Rafaëlle Germain, ma prêtresse). J'ai besoin de savoir s'il a le sourire de sa mère, le front de son père, d'où il tient ses manies, ses expressions, besoin de m'intégrer à cette famille bigarrée et joyeuse que j'ai déjà adopté. Besoin d'eux pour encore mieux le connaître.

En fait, je n'ai rien à dire. Je n'ai vraiment rien à dire. Je suis heureuse et voilà. Je vous reviendrai je ne sais quand, quand j'aurai écris ou quand j'aurai pleuré, mais je vous reviendrai, peut-être bien pour vous parler encore des âneries de ceux qui s'aiment.

Sans doute. : )

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