9 février 2010

Ce matin, en me réveillant, je cherchais Marc. Je tâtais sa place vide, j'avais presque l'impression qu'elle était chaude, sa place vide. Je me suis levée la tête, j'ai même - seigneur - dit, à voix basse, bébé-chat?, juste au cas.

Mais non, tsé. Il était pas plus là que les derniers mois.

C'est pour ça que je suis contente qu'Olivier il sache tout, qu'Olivier il sache que je suis pas prête à recommencer un il était une fois ailleurs.

Y'a encore trop de matins où je rêve que Marc soit là.

Ça va finir par passer, j'imagine.
J'imagine.

1 commentaires:

Noisette Sociale a dit…

Mais oui, ça va finir par passer, c'est sûr. :)

Fais-toi confiance!