10 janvier 2008

Ça change rien, mais...

Je doute que des gens passent par ma page Facebook pour venir lire mon blog.

Toutefois, au cas où vous le feriez - et ce même discrètement, sans que je ne le sache - je veux juste aviser la terre entière que je vais retirer immédiatement après ce post le lien que j'y avais fait.

Pas que je n'en vois plus l'utilité, au contraire je trouvais que c'était une belle visibilité pour mon petit espace à moi, mais je crois que, malgré ce que j'ai pu avancer dans le passé, je n'assume pas encore tous les propos tenus à l'égard de mon ancien petit copain qui vient miraculeusement de s'updater à la technologie Facebook et, pour l'avoir vécue dans le passé, la présence sur mon blog de lui et ses amis a été très...dévastatrice, disons.

Alors voilà. Je sais que ça ne change strictement rien, mais j'avais envie de l'écrire ici, parce que ça le concerne, mon blog, ce site que je considère presque comme une entité à part. Je n'ai plus envie qu'il soit intime - je parle de Bruno - avec moi comme on l'était avant. Je n'en vois plus la nécessité, ni l'importance. C'est mon bout de vie privée, que je veux bien partager avec tout le reste du monde s'il le faut, mais pas avec lui.

Plus avec lui.

J'ai du changer de blog, d'adresse, d'univers virtuel la dernière fois. Perdre mes contacts, mes liens, mes lecteurs. Vous n'êtes pas beaucoup mais je vous apprécie énormément, et j'apprécie encore plus ma lecture de vos propres blogs, alors no way, pas question, pas ça une deuxième fois.

Amélie en mots troubles ne sera donc plus accessible sur mon Facebook.

Et voilààà !

Si jamais par contre vous voulez m'adder comme friends, gâtez-vous ! :P Je suis totalement maniaque de Facebook, le meilleur outil aidant la procrastination depuis l'invention de MSN.

Amen.

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