3 janvier 2008

Histoire de queues

Je trouve que l'année 2008 commence vraiment en queue de poisson, et j'aimerais mieux qu'elle devienne une jolie et touffue queue de minou-minou. Ou une toute tortillée comme le ti-criss de chien fatiguant de Catherine. Ou qu'elle se présente à moi sous la forme virile d'une vraie queue. You know what I mean...

Mais parfois, je dis que c'est ça que je veux, un homme, une queue, dans ma vie, et d'autres fois, je sais pu, je sais pas, je doute. Je veux tellement tellement tellement tellement avoir un amoureux merveilleux que ça ne me tente plus, après.

Je suis folle, ça doit être ça, l'idée.

Ce soir j'ai vu mon ancienne queue au bar, mon ancien amoureux merveilleux. Et je n'ai pas eu mal. Chaque fois que je le vois et que je n'ai pas mal, c'est une victoire personnelle ,une victoire dans mon combat à me détacher de lui ; un ex, c'est plus addictif que la cigarette, dans mon cas.

J'ai brièvement vu le garçon dont je vous parlais hier, aussi. Ça n'ira pas plus loin avec lui, je le sais, je le sens, mais au moins, je me console en me disant que ce que je ressens, dans mes tripes, dans mon coeur, quand on est ensemble, c'est de ça que je veux, dont j'ai besoin, dans mes futures relations. C'est de la même graine que la merveillosité qui me gagne quand je suis avec le Nous.

Bon, mon chat réclame de l'affection, et je vais lui en donner !

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