30 novembre 2009

Je me souviens de mes deux dernières fin de session.


Je faisais des travaux jusqu'à trop tard dans la nuit en t'écoutant vaguement ronfler et en me collant à toutes les cinq minutes à ton corps chaud, entre mes draps.


Ce soir, le chat est là mais je m'ennuie de ta respiration, de l'orchestre de tes bruits, et tu me manques encore plus que d'habitude, avec ton souvenir sur tous les murs, imprégné dans les draps, jusque dans mes cheveux.


Y'a un faisceau de lumière contre la boule d'eau pleine de papillons et de promesses avortées, et moi, j'ai comme le goût de pleurer.

1 commentaires:

Lilas a dit…

Tu sais, j'ai remarqué que tout les 30 novembre sont toujours triste. T'en fais pas, c'est normal.

Ça se termine toujours les peines d'amour. À chaque fois qu'on a de la peine, faut juste se dire qu'on approche de plus en plus du jour ou on verra pleins de fleurs partout.

:)