Après les quatre passées à consoler Minou, je jugeais que j'avais le droit de lui dire un peu ce que j'avais sur le coeur, moi aussi.
« J'ai ressorti tes vieilles mitaines grises elles me tiennent au chaud quand je marche jusqu'au métro, ou que j'attends le train.
L'hiver c'est dur sans toi »
17 décembre 2009
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