2 septembre 2009

On dirait que parler à Minou, ça me fait autant du mal que du bien.
Surtout quand il dit, je me sens étouffé, quand je dis que j'ai besoin de temps, j'ai besoin de temps, Amé.

Moi je me sens comme Marie-Stella, j'aurai juste envie de crier, de frapper, de dire RESTE! vraiment vraiment fort en criant vraiment vraiment fort, j'aurai envie de prendre de la folle colle et de me scotcher à lui pour toujours.

Surtout quand il dit je sais que je vais m'ennuyer de toi en septembre , surtout quand il me serre fort dans ses bras quand je pleure, surtout quand il est juste là, à côté de moi, à me regarder avec son sourire, surtout quand je parle à pleins d'autres gars dans les bars et que le seul, LE SEUL qui soit un petit peu intéressant s'appelle Marc-André, lui aussi. Excuse-moi, on pourrait-tu être des amis ? Le gars avait l'air de pas comprendre mais moi, maudit que je me comprenais.

J'aimerais ça arrêter d'aimer juste comme ça, comme on mange une toast ou comme quand je conduis machinalement sur l'autoroute, sans me forcer. Comme ça. Pouf. Pu d'amour, pu d'amour pen toute.

Mais je suis incapable de nous imaginer autrement qu'ensemble.

Ça doit être ça mon drame, finalement. J'ai trop d'imagination!

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Pauvre puce!!! :( J'aimerais te dire de l'oublier, de passer à autre chose, mais malheureusement, une peine d'amour c'est comme tomber en amour: on ne contrôle pas ça. J'espère que le temps qui passe fera en sorte que tout se termine pour le mieux pour toi, peu importe l'issue de cette impasse dans laquelle tu sembles prise.

Anna a dit…

C'est plate mais pour guérir et arrêter de l'aimer pour vrai de vrai, il faudrait commencer par te détacher, arrêter de le voir et surtout ne plus jamais pleurer dans ses bras..

François a dit…

Je me sens étouffé, laisse-moi du temps,... mais te baiser, aucun problème!